Pendant que des cyclistes se tapent le Tour de France (je lève mon chapeau à Hugo Houle !), je me suis payé un tour de la Gaspésie. Pour avoir roulé aux deux endroits, je peux affirmer que le panorama que nous offre la route 132 entre Matane et Gaspé se compare presque à celui de l’Autoroute 1 californienne.

Combien de trous pouvait-on jadis trouver dans le rocher Percé ? Certains parlent de quatre. Il semble que les récits de Jacques Cartier en évoqueraient trois. Chose certaine, au moins deux ont été officiellement répertoriés. Selon plusieurs sources, la seconde arche se serait effondrée le 17 juin 1845, après avoir été frappée par la foudre. Depuis, c’est un obélisque qui se dresse à l’extrémité est du monument naturel.
Chose certaine, au même titre que plusieurs autres attractions à travers le monde, le rocher Percé mérite d’être visité et photographié. Bien que la nature seule l’ait constitué, il s’inscrit dans notre jeune histoire.
Dans mes écouteurs
C’était dans les haut-parleurs de mon véhicule, en fait. Par un samedi matin des plus ensoleillés, ma conjointe et moi avons quitté Bonaventure pour revenir à la maison, au son des compositions musicales de Jean-Michel Blais. Cet artiste se distingue par sa grande générosité. Non seulement répond-il aux gens qui lui écrivent, mais il diffuse plusieurs de ses œuvres en exclusivité, sur sa page Facebook.
C’est justement l’une d’elles que je vous propose cette semaine, en #musiquebleue. Publiée le 8 juillet dernier, voici amour-piano.
La bonne nouvelle de cette semaine
Laurent Duvernay-Tardif est toujours un membre des Jets de New York, dans la NFL. À moins d’un revirement de situation, c’est avec cette formation qu’il évoluera, la saison prochaine. Toutefois, s’il décidait de venir terminer sa carrière dans la Ligue canadienne (LCF), ce serait avec les Alouettes. L’équipe montréalaise a en effet acquis les droits de l’athlète de 31 ans, via une transaction avec les Stampeders de Calgary, qui l’avaient repêché en 2014.
On peut donc commencer à rêver de voir évoluer Laurent au Stade McGill. En passant, onze anciens joueurs des Alouettes ont vu leur numéro être retiré par l’organisation. Parmi ces numéros accrochés dans l’amphithéâtre, on trouve le 74 de Peter Dalla Riva, le 75 de Hal Patterson, le 77 de Junior Ah You et le 78 de Virgil Wagner. Le 76, qu’il a toujours porté, demeure ainsi entièrement disponible pour le joueur québécois !